Psycho généalogie

Il y a des lois auxquelles nous ne pouvons nous soustraire, c’est comme ça et que vous soyez d’accord ou pas, cela EST !

Prenons l’exemple d’une loi «physique» telle que la loi de la pesanteur que tout le monde connait: si vous avez un objet dans les mains et que vous le lâchez, il tombera à terre et ceci autant de fois que vous renouvellerez l’expérience.

En biologie, il y a une loi que certains pourraient nommer «génétique» qui fait qu'un fruit dépend de ses racines. Vous n’avez jamais observé une poire sur un cerisier ou du raisin sur un pommier, et là encore, que vous soyez d’accord ou pas, cela EST !

On pourrait également parler de loi "cosmique", telle que la loi d’attraction, mais celle-ci nous l’aborderons dans une autre rubrique.

Revenons à cette loi biologique qui fait que le fruit dépend de ses racines, vous êtes, vous-même, un fruit de votre arbre généalogique et vous dépendez donc de vos ancêtres.

En fonction de ce que ces derniers ont vécu, mal vécu, ou pas vécu, vous pouvez observer que vous êtes dans des schémas de reproduction, réparation ou transmission.
En effet, soit vous reproduisez en répétant le comportement, et cela peut se manifester par le métier, l’histoire de vie, les pathologies etc.
Soit vous réparez, en solutionnant le problème de l’ancêtre avec qui vous vous trouvez en résonnance. Par exemple, s'il était alcoolique, vous serez abstinent alors que si vous êtes dans un schéma de transmission, vous n'êtes ni alcoolique ni abstinent mais neutre avec l’alcool. Par contre, vous transmettez la «charge» à votre descendance qui reproduira, réparera ou transmettra à son tour.

Bon nombre de nos maux prennent leurs racines dans notre arbre généalogique et c’est en comprenant à quel point vous dépendez de vos ancêtres, que vous pourrez alors identifier l’origine de vos blocages afin de vous en libérer.

Généalogie = Géniale Logique !

Vous comprenez à présent qu’en vous libérant, vous libérez votre descendance.

Il est important de vous préciser que nous ne sommes pas là pour nous apitoyer sur le destin de nos aïeux, et encore moins pour les juger, car ils ont fait ce qu’ils ont pu avec ce qu’ils avaient dans le moment.
Il faut tenir compte de tous les paramètres de l’époque et soyez certains qu’à leurs places, nous n’aurions pas fait mieux. Et si vous en doutez encore, dites-vous que si vous étiez un poisson, il vous serait impossible de courir !